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je me permets de vous envoyer ce message et vous prie de m'excuser si cela n'a pas rapport à votre s
Par HC79, le 11.09.2016
bonjour
passe un bon week-end
ici soleil et si tu n'en as pas, je t'en envoie par les voies de l'amitié virt
Par Dyna, le 18.01.2014
que cette dernière nuit de 2013 emporte avec elle
chagrins et tourments
pou r ne laisser, sur ton chemin,
q
Par Dyna, le 31.12.2013
un kikou du dimanche
gros bisous
@trè? ?èèèèèè? ?ès bientôthttp:/ /dyna-serenity .centerblog.ne t
Par Dyna, le 27.10.2013
ici tout va bien (malgré une pluie diluvienne qui s'est installée),
j'espère qu'il en est de même pour toi e
Par Dyna, le 12.10.2013
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Date de création : 03.01.2013
Dernière mise à jour :
04.02.2017
45 articles
Nous reproduisons ici dans ce Blog: Approche de la Vérité, les 19 Entretiens sous titre 12 Entretiens A et en suivant, dans mon Blog sagesseinfinie.eklablog.com
A SERIES DE DUALITE: nous sommes tous cernés par une série de dualité. La 1ère, notre condition à la "naissance". Nous utilisons ce terme dans le sens habituel, qui en définition ne signifie "rien", rien de particulier, sinon l'apparition d'une forme qui cherchera à se comprendre, pire à se définir avec des mots, qui nous éloigne encore plus de ce que nous cherchons à cerner. Nous sommes ainsi plongé dans une nécessité de faire face à un état insatisfaisant et contraignant. Le fait est qu'il y a séparation de notre Essence, qui "acquiéra" un caractère terrestre. La Vie devient par ce fait : existence, celle-ci n'oeuvrera qu'à retrouver la Vie (son Origine Céleste). La 2 ème, la forme humaine se divise en deux opposés, masculin/féminin, lesquels n'ambitionnerons qu'à se rencontrer, afin de retrouver l'Unité perdue, soit une consolation temporelle, un semblant d'unité, mais piste pour un dépassement et retour au sein de Celle-ci. La 3 ème, dans le fait capital de notre entrée en mode existentiel nous constaterons, que notre Essence (qualifiée de Pure Conscience) se manifestera en tant que subjectivité devant faire face à son opposé, l'objet. Les deux d'ailleurs se résorbent dans le sommeil comme nous l'avons déjà vu. Il peut déjà se faire jour que la queston centrale pour nous sera celle de découvrir notre IDENTITE réelle, et conjointement de pouvoir cerner la REALITE. ces deux élément sont réunis dans notre interrogation et dans notre réponse. Si les deux éléments paraissent sans rapport, nous verrons que l'un ne va pas sans l'autre, et nous verrons qu'ils s'épousent absolument, pour n'en faire qu'UN en fin de compte. La sagesse témoigne que l'un ne va pas sans l'autre, aussi surprenant que cette fusion ne nous semble pas intelligible au début de notre interrogation, car l'Identité est d'ordre subjectif et alors que la Réalité plutôt d'ordre objectif.
La Réalité: ce mot condense pour nous avec le développement des sciences et des techniques, le plus précieux des biens et devient par ce fait, la chose la plus extérieure à nous (en qualité d'Identité), s'approprie la place de Vérité suprême; l'objectif en quelque sorte dépèce la subjectivité (la nôtre), suite à notre entrée dans le monde des formes (espace, temps et causalité ou le tout comme existence). C'est dans la logique de notre intrusion en mode corporel, devenant en quelque sorte un "objet", que nous rencontrions un monde objectal qui nous "convienne" dans un premier temps de l'existence. Mais la Réalité est bien plus que cela, puisque son Origine est antérieure au monde qui nous entoure, en en étant la Source, sans que nous en ayons conscience.
B Notre unique objet est de chercher la Réalité de nous-même et du monde, afin de nous libérer de toutes limitations, découvrir l'ETRE que nous sommes, enfoui sous l'Avoir. Le chemin de l'existence est celui de l'intelligibilité ou esprit débouchant sur un "état" de Pleine (Pure) CONSCIENCE ou encore Conscience Cosmique, ayant pour caractéristique: la Libération ou l'Illumination, baignant dans le Bien Suprême. Il s'agira de lever les obstacles sur cette voie. Nous sommes piégés par les mots: l'esclavage est là en premier lieu, lié à la présence du sensoriel ou tangible. La "matière" (ou objet) ne s'explique pas sans lui donner un sens: elle réclame l'intelligibilité. Notre expérience "sensorielle" devient les "choses de la vie", une impression révélatrice (une montée) d'un dépassement à faire. La compréhension véritable part d'un Haut ou du Centre, delà le caractère englobant ou central de cette Vision, qui renvoit le particulier ou parcellaire à sa juste place, alors que l'existence limite le champ de la Vision.
Un choix judicieux de mots, et dans un ordre convenable suffisent pour nous éclairer dans notre existence. Le pouvoir des mots existe dans leur Qualité invisible, et non dans leur signification superficielle. Ainsi, avec 9 nombres, on maîtrise et "comprend" l'univers; c'est dire la nécessité et la puissance du rassemblement des idées. Les nombres sont des idées, avant d'être des quantitatifs.Ils deviennent la forme des choses (objets). La monnaie est l'utilisation illicite des nombres à bien regarder. La noblesse de Ceux-ci, structurant et animant l'univers (et nous-même conjointement), ne saurait concerner l'usage que nous en faisons en qualité de monnaie ou appropriation de biens, tout cela à des fins particulières. Ils ne sauraient être abaisser au mercantilisme et à l'utilitarisme trivial.
ETRE: contracte le sens de nous-même, la raison de notre physique, de notre apparence. Les idées sont ainsi que les nombres contractibles à l'Unité. L'Unité authorise tout une suite; en s'additionnant à l'infini, elle est toujours présente, et chaque fois elle constitue une nouvelle unité (composée). Rien n'est concevable sans l'unité; c'est le nombre par excellence, qui rassemble. Malgré la multitude,pluralité, l'unité est toujours présente et constitue la Réalité incontournable, et c'est en l'Unité que la multiplicité a toute sa Réalité, et dévoile la richesse de Celle-ci. Dans toutes mes Lectures et Dialogues, je ne fais que repositionner les idées les unes par rapport aux autres, afin d'établir chaque fois de nouvelles relations, pour les mettre en valeur et les rendre plus explicite.
Marcher sur la terre n'est ce pas aussi traverser le ciel ? Le pied se pose sur elle, mais la tête en n'est elle pas concernée? Le Ciel, le vrai est bien intérieur: il se nomme Conscience Pure, où l'objet qui mobilisiait notre attention, n'a plus sa place. Pareillement, les idées, les concepts comme le Ciel sont d'un autre ordre qque le tangible, le grossier. La Subjectivité passe de notre côté. Nous gagnons en "spiritualité", car l'objet ne peut qu'être interprété, réclame de nous un sens et en incarne bien un. Les idées nous font accéder à un niveau supérieur de l'esprit humain, comme la flamme qui jaillit de l'allumette. Nous ne distinguons un objet d'un autre qu'au moyen du nom et de la forme. Entre les idées, il y a un espace vide, créateur qui les engendre, dont habituellement nous ne prenons pas conscience; par l'Attention portée à cet espace, nous pénétrons dans cette Source infinie de Conscience libératrice. La méditation en est la méthode , et nous pourons par là faire tomber le masque des apparences. La pensée, si valorisée et si fructueuse en ce qui concerne notre relation avec tout ce qui concerne l'extérieur, doit cesser d'être afin de pénétrer dans notre Mystère intérieur ou Réalité tout simplement. Ne rechercher que le contraire des évidences habituelles, nées du confinement objectal et mental, tel que "matière" et vide ou réalité et rien et tel que pensée ou méditation . On peut sentir l'analogie entre le sommeil et le vide, où la pensée se taît, permettant à l'organisme de se revigorer et à la pensée de retrouver toute sa lucidité, après la trêve nocturne.
En interrogeant les mots, la matière et la mère (maman) contiennent une même racine "ma".Il y a une relation intime entre eux: le premier sens , comme élément de base de toute appréciation ou de différence de la réalité qui se présente à nous et en même tant que le deuxième, comme nourriture et nourrice à notre entrée dans l'existence. La matière est notre mesure indispensable d'un premier ordre du réel, comme la mère l'est pour notre subsistance. On résumera en disant, que matère et mère sont bien nos deux premières expériences de contact avec un monde qui s'offre à nous.
C La VERITE, à condition de ne pas en faire un cconcept, dépasse tous les "biens" (possessions grossières et subtiles). Elle ne demande qu'à éclore en nous ou plutôt nous transformer, nous métamorphoser, en faisant éclater toutes nos frontières mentales: là, où il n'y a plus rien à attendre (à désirer en fait). La méditation donne à l'intelligence la possibilité de se libérer de ce qui entrave cette rencontre avec l'UNITE : le monde se révèle alors comme expression de cette même Unité. ETRE Vivant , c'est se sentir comblé en Plénitude, ne sentir que rien d'extérieur ou d'intérieur ne met en péril notre édifice. De quoi servirait un demain, que nous importe un hier, car le Présent , qui contient TOUT, abolit le temps qui s'est effacé dans l'Eternité.
La VIE est inclusive, alors que l'existence est exclusive. La Vie ne s'oppose pas à la mort, sinon de quelle Vie parlerait-on, si ELLE pouvait avoir un terme, une fin ? Elle ne correspondrait pas à notre aspiration profonde, à ne connaître aucun amoindrissement. La première difficulté est bien de vouloir la définir , la contenir dans des mots. Delà, apparaît la tentation de la REDUIRE avec la "naissance", dans un début , puis dans cette logique avec la mort pour fin! Comme nous le voyons là, c'est bien la "naissance" qui est l'opposée de cette dernière. A partir de ce début fixé, nous existons avec l'apparition d'une forme et d'un état mental, qui ne fait que statuer sur sa condition de forme (physique) . La VIE ne peut être ramener au niveau de l'existence; dans ce sens là, l'existence s'oppose à la Vie, et ce tant qu'elle ne La rejoint pas . Tout notre DILEMME est contenu dans une Réunification, cet effacement d'opposition, qui tout en étant mental, n'en est pas moins physique ou énergétique. La mort nous prive de tout ce qui nous est extérieur, et nous ne pouvons difficilement accepter qu"une chose aussi simple, soit aussi compliquée à en rendre compte. Nous nous croyons Vivant, alors que nous sommes qu'EXISTANT, et tant que nous ne serons pas pleinement existant, nous ne serons jamais Vivant.
D La "naissance" signifie: limitations, soit une parmi tout le reste, soit une séparée de tout le reste. Avec le corps, la première cellule est crée à partir de la Totalité, par individuation. La peur apparaîtra au même moment que la "naissance", de la séparation du Tout. Qui ressent cette peur ? Le corps, l'ego (l'individualité séparée, limitée). Pour l'homme inaccompli, "je suis" implique, "je suis moi" , et "je suis moi" implique "je suis que moi". Toute l'existence de l'homme a pour pivot central l'affirmation : "je suis."
La méditation est la seule Voie conduisant à l'Immortalité, à l'Eternelle Félicité. Ainsi le Sage (l'Eveillé) tranche le noeud de l'egoisme avec l'épée acérée de la méditation. La concentration et la méditation parviennent à construire un "nouveau mental", où l'on acquiert de nouveaux modes de penser; L'Eveil est la finalité de toute Religion. "quand vous aurez réellement découvert le "Je Suis", le problème de la mort cesse de surgir, il ne parvient même pas à votre pensée" dit Jean Klein. "Voir la fin dans le commencement et le commencement dans la fin, c'est le signe d'Eternité. L'Immortalité n'est absolument pas dans la continuité. Seul le processus de changement est continu. Rien ne dure" p 45 dans "Je Suis" de Sri Nisargadatta Maharaj , et lui d'ajouter "Le Gnani (l'Eveillé) ne meurt pas parce qu'il sait qu'il n'est jamais né" et p190 "L'homme ordinaire a peur de la mort parce qu'il a peur du changement. Le Gnani n'en a pas peur car son mental est déjà mort. Il ne pense pas : je vis, il sait: il y a la Vie. En Elle , il n'y ni changement, ni mort. La mort semble être un changement opérant dans le temps et l'espace. Comment pourrait-il y avoir mort, là où il n'y a ni temps ni espace". C'est pour cela que vouloir atteindre l'Immortalité en tant qu'existant est absurde. Celle-ci ne peut être atteinte ou chercher dans le monde de la "vie habituelle".
Pour Platon, c'est l'existence de l'homme dans le temps, cause de souffrance, inquétude et ignorance qui engage à philosopher, et d'un autre côté le temps est refusé, nié puisqu'il s'agit de se libérer du temps. D'ailleurs, pour lui le temps n'existe pas vraiment. Le temps "n'est pas" car en vérité, l'expression "est" ne s'applique qu'à la Substance Eternelle, le contraire, c'est l'accident. Ainsi le temps est conçu comme une imitation de l'Eternité, qui donc nous s'accapare dans les expériences que nous faisons du monde existentiel. Il y a donc bien lieu de cerner le caractère ambigu et insaisissable du temps. La pensée antique maintient donc ensemble deux idées, qui en réalité s'opposent: le temps et l'Eternité, le mental étant l'artisan de cette confrontation. Pas question de penser l'un sans penser l'autre; penser ne veut donc pas dire résoudre le conflit. Le temps n'a qu'une direction; l'avenir, d'où son caractère tragique. Pour Platon, cette Eternité fut perdue, les hommes à la "naissance" sont" tombés dans e temps". Le temps par définition est toujours humain, mais vu notre sur-Nature (ou divine), il ne nous affecte pas FONDAMENTALEMENT , et il tient qu'à nous de nous libérer de son emprise esclavagiste. Pour Kant, il situe bien le temps comme intérieur et non extérieur. La durée n'est que l'image trompeuse du vrai Temps. L'Eternité n'est pas un temps qui ne finit pas, mais sa Négation, autrement dit une absence de temps. Tout est douloureux pour l'homme qui se fixe dans le temps, et grâce au temps, il peut remodeler son existence à sa guise, se créer une existence sur mesure en parte, souffrir s'il veut en se remémorant ce qui lui a plu: c'est le temps psychologique qui permet tous les échappatoires, qui n'est qu'un OUBLI de soi-même, du Courant de Vie qui lui échappe au temps, lequel Courant est un Eternel PRESENT.
Le temps est l'Eternité qui se trouve comprimée par le monde objectal, où nous sommes soumis au désir qui nous tiraille vers le "bas", et ce dans un tourbillon sans fin. Le temps soumet à ce niveau l'Eternité à son mode, l'accapare afin d'en faire un mouvement suivi d'un autre moment et ce sans fin. Ainsi, comme si l'on hachait l'Eternité, que l'on savourait des morceaux dont le fumet serait semblable à l'Eternité, mais avec un goût suscitant l'interrogation, qui ne s'accorderait avec le dit fumet.Le temps est l'impitoyable DEFI de notre "naissance", donc d'un commencement qui nous jette dans le temps , et nous fait poser la question de notre Origine.
La notion d'Eternité n'a en Elle-même de sens que parce que nous sommes conscient de notre finitude. Le temps est un aménagement de l'Eternité dans notre cadre mental. La conscience subjective dans ses expériences vit et est liée temporellement, le temps doit être considéré en tant que forme sous laquelle opèrent certains modes de conscience,. et non en tant qu'existence indépendante de celle-ci, qui serait extérieure à la Conscience. La Pure Conscience , Elle n'est pas touchée, par ces modes , donc non liée au temps, et c'est bien dans les profondeurs de la Conscience que le temps est transcendé. Le temps est-il un lieu de Réalité ? Ce n'est autre que la Vérité de notre Etre qui est en Attente, une fois dépassé le masque que le temps a jeté sur les choses. Le temps, au sens usuel, s'engloutit dans les perceptions de notre propre Nature. Toute durée est une forme conceptualisée et surimposée par la pensée à une REALITE étrangère à de telles diversifications. à suivre Dialogue 37
Bonjour,
Je me permets de vous envoyer ce message et vous prie de m'excuser si cela n'a pas rapport à votre site. Mais cela pour vous avertir de la sortie d' un huitième livre de Frère Elyôn « la bombe révélatrice », dont voici le lien http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/la-bombe-revelatrice.pdf .En ces temps difficiles et incompréhensibles pour certains, merci de bien vouloir le consulter, vous apprendrez beaucoup de choses. Prenez le temps de lire les 7 autres livres du même auteur.
Merci aussi aux modérateurs de laisser poster ce message d'une très grande importance.
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